Maroc. Longtemps ce nom est demeuré pour moi une destination lointaine et proche à la fois. Un pays étranger mais non moins dénué de rêve. Et par conséquent, accessible uniquement par la voie onirique, qu'il s'agisse du roman ou du récit.
Un ami qui s'y rend régulièrement en a fait depuis de longues années son repaire. Il me conte régulièrement ses périples, me décrit la morphologie escarpée du désert et évoque avec passion le climat de cette contrée, au large de la méditerranée. Au début de cet été, je me suis à mon tour laissé allé à cette destination très courue bien qu'au demeurant mystérieuse. Il faut découvrir le méandre des ruelles dans les médinas, fuire les Ryad et palaces afin d'échanger avec les autochtones et boire le thé à la menthe... sans sucre. Ici, c'est possible
A l'image de la médina (villes marocaines), il existe de multiples portes d'entrée pour découvrir le Maroc. Le parcours que j'ai suivi m'a conduit au coeur des villes impériales du pays : Casablanca, Fès, Meknès, Rabbat et Marrakech. Ce sont des villes aux couleurs singulières. Bleu, vert, et rouge
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